13.7.10

Consumer Reports déconseille l'iPhone 4

Les ventes de l'iPhone 4 vont-elles en pâtir ?

L'influent magazine mensuel américain Consumer Reports (8 millions d'abonnés), a publié un diagnostic embarrassant pour la firme de Steve Jobs sur son iPhone 4. Le rapport confirme et alourdit les critiques faites sur la qualité de son antenne. D'après les tests de l'association de consommateurs, l'iPhone 4 a bien un problème de réceptivité. "Quand votre doigt, ou votre main touche" la bande noire en bas à gauche du terminal, "la réception peut se dégrader" suffisamment pour perdre un appel dans une zone à faible réseau.

Pour Consumer Reports, Apple doit trouver une solution rapidement, comme par exemple fournir des coques en plastique gratuites à ses clients. Une possibilité qu'Apple a jusqu'ici refusée.

Source JournalDuNet.com
Publié le 13/07/10

4.7.10

Réseaux sociaux, priorité marketing pour 2010

"Réseaux sociaux, priorité marketing pour 2010"

Alors que les experts prédisent un accroissement de l’investissement publicitaire dans les médias sociaux depuis 2009, nous pouvons désormais avancer que la conquête des médias sociaux et des réseaux sociaux est LA priorité absolue des responsables marketing pour 2010.


















Emarketer a en effet réalisé une étude sur l’investissement prévisionnel des e-commerçants en 2010 et les grands vainqueurs sont les réseaux sociaux :

» 45,4% des décideurs marketing placent les réseaux sociaux comme prioritaire
» 42,2% les jugent importants dans leur stratégie marketing




L’étude d’e-marketer sur les réseaux sociaux met donc en lumière la place prépondérante que commencent à prendre ces plateformes sociales. Pourquoi ? Parce que les e-commerçants font de plus en plus attention à la qualité des visites de leur site :
















Le temps passé sur le site ou les pages vues sont les ratios qui intéressent le plus les responsables marketing en 2009. Via les médias sociaux, ces décideurs espèrent capter l’attention de leurs internautes et les engager dans un véritable échange avec eux.

Steve Wages, directeur de Society of Digital Agencies (SoDA) :

Les agences interactives doivent éviter la complaisance à tout prix et continuer de concentrer leurs efforts vers l’innovation afin d’engager les consommateurs dans un dialogue pertinent et multicanal

Le web social est plus que jamais annoncé comme un levier d’affaires pour 2010 ..
Engagez-vous qu’il disait, engagez-vous ;-)

Source : e-marketer

2.7.10

Twitter bientôt interdit de séjour à l'Assemblée nationale ?

Le président de l'Assemblée nationale souhaite discuter d'une éventuelle interdiction de l'usage de Twitter par les députés lors des auditions et commissions à huit clos. Bernard Accoyer a indiqué que le sujet sera mis à l'ordre du jour du Bureau, l'instance qui gère le fonctionnement de l'Assemblée.

"Les nouvelles technologies sont là, il faut s'en féliciter, elle font circuler l'information de manière de plus en plus rapide. Mais elles ne peuvent remettre en cause le respect du huis-clos lorsque l'Assemblée ou une commission décide de siéger à huis-clos", a-t-il expliqué à l'Association des journalistes parlementaires, relate l'AFP.


La réaction de Bernard Accoyer intervient après que le député UMP Lionel Tardy, connu pour ses positions anti-Hadopi, ait rendu compte via Twitter de l'audition, à huis-clos, de Raymond Domenech et Jean-Pierre Escalletes, sélectionneur de l'équipe de France et président de la fédération française de football, par la commission des affaires culturelles et de l'Education.

Notoriété à bon compte


" Cela m'amuse un peu, car nombre de personnes ont transgressé le huis clos, mais ils l'ont fait à l'ancienne, en envoyant des SMS sous couvert d'anonymat aux journalistes, en sortant de la salle avant même la fin de l'audition pour s'épancher auprès des journalistes ... à commencer par le président du groupe UMP lui-même... ou en expliquant en détail le contenu de l'audition, dès la fin des débats." réplique le député de la Haute Savoie sur son blog.


Rien ne dit pour l'instant que le Bureau de l'Assemblée se prononce pour l'interdiction de Twitter dans certaines conditions. Une position qui sera difficile à faire passer auprès des parlementaires dont un nombre croissant ont compris l'intérêt d'utiliser ce type de service pour accroître leur notoriété auprès des médias et des internautes, efficaces relais d'opinion auprès de leur électorat.

C'est le cas de Yannick Favennec. Le député de la 3ème circonscription de la Mayenne s'est ainsi illustré le 1er juillet en twittant depuis une réunion à l'Elysée entre le Président et les parlementaires de l'UMP qu'un remaniement ministériel était programmé pour le mois d'octobre. Un tweet qui s'est transformé en dépêche AFP sitôt direpris par l'AFP qui en afait


En février dernier, les députés français avaient déjà essuyé une limitation de leur usage de l'internet par la mise en place d'un système de filtrage de sites illicites ou controversés sous prétexte qu'ils étaient des facteurs de propagation de virus.

Source ZDNet.fr
Publié le 02/07/10 - Par Philippe Leroy

Missing, un moteur de recherche pour les disparus de catastrophes naturelles

"Missing, un moteur de recherche pour les disparus de catastrophes naturelles"

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Il existe de nombreuses initiatives d’exploitation des médias sociaux dans une optique humanitaire (il y a même un terme pour ça : “social charity“), mais ce dont je voudrais vous parler aujourd’hui est un projet plus ambitieux : Missing, un moteur de recherche pour les disparus des catastrophes naturelles. C’est la Fondation Casques Rouges qui est à l’origine de ce projet (avec le soutien financier du Secrétariat d’État à l’Économie Numérique). Cette fondation a déjà travaillé sur d’autres projets, comme l’Alerte Enlèvement sur Internet ou les téléphones mobiles, et souhaitait exploiter la puissance des réseaux sociaux pour aider à la recherche des disparus de catastrophes naturelles (ex : Le tsunami de 2004 ou le tremblement de terre en Haïti).

La fondation a donc développée en partenariat avec European Consulting Services, Bearstech et Google une plateforme de centralisation des informations disponibles sur les victimes ou disparus des catastrophes naturelles. Cette plateforme se veut mondiale et est donc proposée en plusieurs langues. L’objectif est de fournir une destination unique pour les familles des victimes qui ne savent pas à qui s’adresser et pour les équipes sur place qui pourraient fournir de précieuses informations : Lancement de la version alpha de MISSING, Le moteur de recherche mondial des disparus de catastrophes naturelles. L’idée est de fournir un dispositif de gestion de crise juste après une catastrophe naturelle (pour les premiers jours) et non de mettre en ligne un annuaire permanent des disparus (afin ne pas rentrer en “concurrence” avec le site Family Links de la Croix Rouge – à ne pas confondre avec FamilyLink.com, un réseau social privé).

L’équipe du projet (l’équivalent de 6 personnes à plein temps) a dans un premier temps concentré ses efforts sur une analyse précise des usages, qui se limitent généralement à des sites web amateurs ou des blogs, pour mettre en place une première version de la plateforme avec les fonctionnalités suivantes :

Une base de données des disparus (déclarés par les familles) ;
Un trombinoscope des victimes (renseigné par les ONG et équipes de secours) ;
Un moteur de recherche ;
Des mécanismes de publication pour pouvoir déposer des témoignages, poster des photos / vidéos, placer sur une carte les derniers endroits fréquentés par un disparu… ;
Un agent intelligent qui parcours le web et les réseaux sociaux pour agréger les données échangées et faire des recoupements.
Pour le moment nous en sommes à une version alpha qui me semble déjà très prometteuse dont voici la page d’accueil :


La page d'accueil de Missing
Dès la page d’accueil, les visiteurs sont orientés vers les fonctions essentielles (liste des disparus, recherche, témoignage…). Vous noterez dans la liste des disparus des pictos pour pouvoir facilement relayer les disparitions en 1 clic sur les grosses plateformes sociales (Facebook, Twitter…).

La fiche des disparus synthétise toutes les informations utiles le concernant (photographie, état civil, dernière adresse connue, description physique, signes particuliers…) ainsi que les données collectées sur d’autres sites :


La fiche d'un disparu sur Missing
Une version beta de la plateforme devrait sortir en septembre pour une finalisation en fin d’année. Néanmoins si une catastrophe survenait demain, la version alpha permettrait de tester le dispositif et d’apporter un premier niveau de soutien. Dans un second temps, il est également prévu d’équiper les ONG de touchbooks spécifiquement conçus pour le travail de terrain (autonomie, robustesse…) afin de faciliter l’alimentation et la mise à jour de la base.

Je ne peux que saluer le travail de cette fondation et vous inciter à prendre des nouvelles du projet sur le blog : Missing-Project.org. Bravo !

(merci à Pierre-Antoine pour les infos)
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Source Fredcavazza.net

1.7.10

Investir sur les médias sociaux en 6 étapes














"Investir sur les médias sociaux en 6 étapes"


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Voilà maintenant près de 3 ans que je parle des médias sociaux sur ce blog (j’ai même ouvert un blog dédié à ce sujet : MediasSociaux.com). J’ai déjà eu l’occasion de donner de nombreuses conférences à ce sujet, d’en dresser un panorama, de les définir, de vous parler des métiers et des outils liés aux médias sociaux, de vous donner mon point de vue sur Facebook… Bref, beaucoup d’articles où je n’ai jamais trop pris le temps d’aborder les choses d’un point de vue stratégique. Straté-quoi ? Stratégique, ça veut dire réfléchir et planifier sur 2 ou 3 ans. Et ça tombe bien car c’est à peu près la période nécessaire pour qu’une présence sur les médias sociaux commence à dégager des bénéfices concrets. Mais commençons par le commencement…


Pourquoi investir sur les médias sociaux ?

J’imagine que vous avez déjà eu l’occasion de lire telle ou telle statistique sur la révolution des médias sociaux (”Facebook serait le 3ème pays du monde“, “100 millions de vidéos visionnées chaque jour sur YouTube“, “50 millions de tweets par jour“…) donc je ne vais pas vous faire l’article sur ce phénomène, en tout cas pas avec des données chiffrées.

Par contre il y a une donnée qui me semble plus intéressante que les autres : En 2010 les usages des médias sociaux ont dépassé ceux des contenus pornographiques (cf. Social Media Has Overtaken Porn as #1 Activity on the Web). Entendons-nous bien : S’il y a bien une industrie qui ne rigole pas avec le web, c’est bien celle du porno car les enjeux et les sommes d’argent sont considérables. Si les médias sociaux dépassent maintenant les contenus porno, c’est qu’il est réellement en train de se passer quelque chose.

Autre considération importante à prendre en compte : Il n’y aura pas de retour en arrière. Même si nous constatons un tassement dans les usages des blogs ou de MySpace, les usages sociaux sont durablement ancrés dans le quotidien des internautes et il n’y aura pas un phénomène d’abandon de ces plateformes pour revenir à ce que nous avons connu avant (domination des portails). Au pire les usages vont se tasser, se diluer, mais maintenant que les internautes ont gouté à la possibilité de s’exprimer (publication / contribution / réaction / notation…), ils ne vont pas s’arrêter là.

Troisième argument : Même si elles ne le sont pas aujourd’hui, toute marque ou organisation est potentiellement exposée de fait sur les médias sociaux. Cela veut dire qu’il n’y a pas d’interrogation à avoir sur le fait d’être présent sur les médias sociaux, mais plutôt sur le rôle qu’un annonceur veut jouer (en bénéficier ou les subir).

Voilà pourquoi il me semble impératif de porter la réflexion sur les médias sociaux à un niveau stratégique et définir un plan d’action qui arrivera à maturation dans les 2 ou 3 ans.


Quand ne pas exploiter les médias sociaux ?

Comme expliquer plus haut, les médias sociaux ne doivent s’envisager que sur le moyen / long terme. Si votre motivation est de faire aussi bien que vos concurrents directs alors il est préférable de vous abstenir, mais il faudra en accepter les conséquences (exposition encore plus forte).

De même, si votre objectif est de booster l’audience sur votre site web, je vous conseillerais plutôt d’acheter des mots-clés car ça fonctionne mieux à court terme. Outre les 2 ou 3 exemples de buzz fulgurant que nous connaissons tous, très rares sont les campagnes qui ont permis de décupler l’audience d’un site en quelques semaines et de façon durable.

En fait les médias sociaux servent à tout autre chose que les dispositif d’acquisition de trafic traditionnels (bannières, mots-clés…) : Ils servent à améliorer l’image de marque, à instaurer une relation de proximité avec les clients, à mieux comprendre les besoins / contraintes / motivations / freins des consommateurs, à mieux appréhender l’image perçue d’un produit ou d’une marque… mais pas à doper les ventes du mois.

Vous pourriez me rétorquer que Dell parvient à générer des millions de $ de C.A. sur Twitter avec son @DellOutlet et je vous répondrais : “Je suis très content pour eux, mais vous n’êtes pas Dell“. En fait il existe un certain nombre d’exemples (Nike, Starbucks…) qui m’empoisonnent le quotidien professionnel car ils donnent de mauvaises idées à mes clients / prospects et véhiculent surtout un mythe autour des médias sociaux et de ce à quoi ils peuvent être utiles dans un contexte de marque. Donc une fois pour toute : Vous n’êtes ni Apple, ni Nike, ni Starbucks, ni Harley-Davidson, et pour vous ça sera forcément plus compliqué car votre marque est moins connue et surtout moins puissante que les mastodontes US. Mais ça ne veut pas dire que vous ne pouvez bénéficier du levier offert par les médias sociaux, tout est une question d’organisation et de planification.


Une approche en 6 étapes

Ne voyez pas dans ce que je vais décrire une méthode ultime de réussite, il s’agit plus d’une approche progressive pour investir sur les médias sociaux. “Investir” est à mon sens le bon terme pour décrire l’état d’esprit dans lequel vous devrez vous trouver : Il y est question d’investir du temps et de l’énergie pour poser les bases d’une relation enrichie avec les clients et prospects qui ne repose pas que sur le stimuli du prix (”Je n’achète que si j’ai une réduction“).


Bref, voici donc les 6 étapes que je préconise :


1.Ecouter les discussions.

Monter une cellule de veille qui soit à l’écoute de ce qui est publié / discuter sur les blogs, forums, réseaux sociaux, plateforme de partage… est la première étape indispensable. C’est en auditant la présence d’une marque et son évolution que vous aurez une visibilité sur les actions à mener. Cette surveillance devra être synthétisée dans un tableau de bord afin d’en faciliter la diffusion auprès de l’ensemble des services de l’organisation. Cette étape d’écoute sera également l’occasion d’identifier les plateformes de référence (celles où votre marque est la plus citée, où les discussions sont les plus intéressantes) et les leaders d’opinion (ceux dont l’avis compte).


2.Définir une stratégie en fonction de l’état des lieux et des écarts constatés avec la stratégie globale.

L’idée ici est de poser les bases du dispositif qui va permettre d’aligner la posture de la marque et ses ambitions / aspirations avec la réalité du terrain (ce que les clients disent et pensent réellement, et pas ce qu’il y a d’écrit dans le diaporama du directeur marketing). Cette stratégie s’exprimera en objectifs réalistes (pas de sur-promesses) et priorisés (pour concentrer les efforts). En face de chacun des objectifs, seront définies des responsabilités et donc des personnes en charge.


3.Etre présent.

La première chose à faire est de réserver des noms d’utilisateur sur les différentes plateformes en utilisant l’orthographe exacte de la marque ainsi que ses variantes (ex : FuckRATP). C’est au cours de cette étape que les pages et profils officiels seront crées ou récupérés (s’ils ont déjà été créés par des employés ou des fans zélés). Ces profils seront exploités dans un premier temps comme relais pour l’information officielle (communiqués de presse…) afin d’amorcer la pompe et récupérer des premiers avis.


4.Se tenir prêt.

Tout va plus vite sur les médias sociaux (surtout avec Twitter), il est donc essentiel de se préparer à affronter une crise. Toute marque qui se respecte possède un dispositif de crise, il suffit donc de partir de cette base et de l’adapter aux spécificités des médias sociaux pour être en mesure de gérer un “départ de feu” en un minimum de temps et avec des ressources limitées (car une crise se déclenche toujours au mauvais moment). Il serait intéressant par exemple de prévoir un blog de crise (cf. le cas Lesieur) qui pourrait être déployé en quelques heures pour neutraliser les rumeurs et apporter des éléments de réponse concrets aux “victimes” ou proches des “victimes”.


5.Répondre.

Après avoir verrouillé les 4 étapes précédentes, il sera temps de choisir un porte parole (une ou plusieurs personnes, avatar ou employé réel…) et de rédiger une charte de présence afin de poser les règles d’engagement avec la communauté (cf. Quelle charte pour les médias sociaux ?). N’oubliez pas de fournir aux populations internes un guide de réponse pour celles et ceux qui souhaiteraient s’exprimer au nom de la marque et répondre aux critiques le WE. C’est également au cours de cette étape que seront définis et mis en place les indicateurs de suivi qui seront en rapport avec les objectifs choisis (cf. 3 approches différentes des social media analytics).


6.Initier le dialogue.

Après vous être “invité” chez les autres (forums, blogs…), l’ultime étape consiste à motiver / stimuler la communauté pour qu’elle s’exprime sur des plateformes dont vous aurez la responsabilité. La première chose à faire sera donc de publier des contributions ouvertes (”Que pensez-vous de…“) afin de stimuler les réactions, puis de systématiser la voie retour dans vos campagnes et actions de communication afin de canaliser les feed-backs. Le plus efficace reste de monter une opération de suggestions collaboratives comme peut le proposer Feedback 2.0 dont je suis le plus ardent supporter. La dernière chose à faire sera ensuite de sensibiliser la population interne et surtout de les impliquer dans cette dynamique pour enrichir les échanges.
Toutes les situations sont différentes (ou pas)

Bien évidemment vous pourriez me dire que pour votre marque la situation est différente pour telle ou telle raison historique / politique / commerciale… mais dans les grandes lignes, l’approche que je préconise correspond à un très grand nombre de marque et offre surtout une grande liberté dans l’appropriation des médias sociaux et des outils qui vont avec.

Rien de très révolutionnaire mais un minimum d’organisation et de planification pour défricher et conquérir un territoire encore vierge. Non pas que les marques ne se l’ont pas déjà appropriées, mais plutôt que rien n’est figé et que vous n’aurez d’autres choix que d’apprendre en cours de route car les médias sociaux sont loin d’avoir le niveau de maturité des médias traditionnels, aussi bien dans les canaux (qui avait vu venir Chatroulette ?) que dans les outils et méthodes. Bref, tout reste à faire.

Encore une fois il n’y a rien de très compliqué dans cette démarche, par contre il faut impérativement vous assurez que vous faites les choses dans le bon ordre et que vous n’oubliez personne en cours de route. Comprenez par là qu’il est essentiel d’impliquer l’ensemble des acteurs d’une société / organisation pour que cette présence dans les médias sociaux soit une réussite.


Vous avez le droit d’échouer

Pour conclure, j’insisterais sur le fait que l’important n’est pas de récupérer le plus de fans sur Facbeook ou le plus de followers sur Twitter, mais plutôt de récolter le plus d’expérience possible sur un (des ?) média encore très instable. Il se peut que votre première campagne soit un échec (ignorance ou tôlé), et alors ? Vous ferez mieux la prochaine fois, car on apprend plus de la défaite que de la victoire et parce que de toute façon une présence sur les médias sociaux ne s’envisage que dans la durée.

Dans un prochain billet je m’intéresserais aux mythes des médias sociaux.
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Source Fredcavazza.net